Très bien, Franck, cette réécriture de l’histoire… littéraire. J’aime beaucoup le « guano du poète » qui me conduit à supposer que les parfums qui répondent aux sons et aux couleurs ne sont pas toujours très agréables… Belle évocation de Honfleur où je ne situe pas la rue qui « portera son nom, un jour »… Il est vrai que je connais surtout la rue de l’Homme de Bois où j’ai rongé mon frein pendant deux ans…
↧